





Objectif 23
Aurélien Chrétien
262 pages
Dimensions : 15.20 cm x 22.90 cm
Livraison : sous 5 à 10 jours ouvrés.
« Central-Paris, 2046. Face à l'impossibilité de réguler la délinquance, la société a dû innover et faire drastiquement évoluer ses lois. En équipant les jeunes citoyens de puces qui désactivent leurs cerveaux en cas d'agression, il a été possible d'instaurer un système à double niveau de réalité : d'une part les gens ordinaires, de l'autre les "pucés", de plus en plus nombreux. Inconscients de la violence endémique, ces derniers baignent dans une sorte de rêve éveillé, où les crimes – de leur point de vue – ont totalement disparu. Mais ce mensonge a un prix. Derrière le miroir, dans la "Réelle-Réalité", les agents 7353 ont le devoir de réécrire en continu les faits, et de maintenir en place la fable de leurs contemporains. Ces "nettoyeurs de réalité", dépêchés sur les pires scènes de crimes, méprisés, déconsidérés, sont confrontés tous les jours à d'insolubles dilemmes moraux. Ce livre relate leur histoire. »
Commentaires
Anders BERTHOUMIEU
Note :
Le : 28/04/2025
Pour un premier coup dans la SF c'est une réussite. J'ai beaucoup aimé que l'univers laisse suffi Pour un premier coup dans la SF c'est une réussite. J'ai beaucoup aimé que l'univers laisse suffisamment de repères avec la société actuelle pour qu'il puisse être lisible et immersif. Cette dystopie amène juste ce qu'il faut de détails pour être crédible et le tout m'a rendu le livre très agréable. J'ai également bien aimé le travail sur les personnages et la singularité qui se dégage de chacun. L'histoire est agréable de bout en bout avec un final bien explosif et rythmé. J'ai passé un excellent moment avec Objectif 23.
Janes zelko
Note :
Le : 27/04/2025
J’ai adoré. J’aime de base les dystopies. Ici on est dans un roman assumé, avec un style dir J’ai adoré. J’aime de base les dystopies. Ici on est dans un roman assumé, avec un style direct, cru, on « dit les termes » comme dirait l’autre. Tout cela m’a beaucoup plu, je le recommande aux fans du genre.
Baciu Razvan
Note :
Le : 26/04/2025
Réaction à chaud, le livre ayant été fermé il y a moins de 30 min. Il n’est pas nécessai Réaction à chaud, le livre ayant été fermé il y a moins de 30 min. Il n’est pas nécessaire de vous remettre dans le contexte, de vous résumer l’histoire du livre les vidéos du Hussard et le podcast avec l’auteur abordant déjà tout ça d’une manière passionnante. Après une courte réflexion sur le fait de savoir si j’allais écrire quelque chose et ensuite qu’est-ce que j’allais écrie, je trouve difficile de vous donner un avis sur ce livre que j’ai beaucoup aimé. Dès lors, moyen de la flemme, je vais vous donner des mots-clefs :) Drôle : Tout au long de l’ouvrage, et malgré les scènes difficile et crues, j’ai esquissé des sourires ou des rires (parfois dans le métro à 8h du matin à côté de mes congénères Homo sapiens technologicus rivés sur leurs téléphones ;) ) Personnages : L’ouvrage aborde un univers qui est crédible, qui est justifié et très convaincant. Toutefois, chose que j’apprécie, il ne se perd pas dans des détails technico techniques préférant construire ses personnages qui deviennent, dès les premières pages, très attachants. Notés de bas de page : Une super idée ! Certaines sont humoristiques, d’autres sont techniques et d’autres me rappellent mes lectures des manuels de droit et les renvois à des lois interminables (merci pour ce rappel ;) ) Elles ne sont pas obligatoires pour comprendre l’ouvrage. Toutefois, au vu du peu de temps qu’elles prennent à être lues, je les recommande. Crû / Cruauté / L’humanité : Sous ces trois mots c’est, en bref, l’humain et l’humanité qui est dépeinte. C’est ses bassesses, ses mesquineries, ses vices qui sont mis en avant dans l’ouvrage. Certaines scènes sont difficiles mais bien réelles… (et non dans la Réelle-Réalité mais bien dans notre réalité) Philosophie « C’est moi qui suis à l’envers ou c’est le monde qui est à l’envers ?! » (philosophe très sage du XXI siècle) Serions-nous plus heureux en étant ignorants ? Quelle place pour la vérité dans un monde qui cache ? Quels rapprochements avec notre monde qui, bien souvent, est dans un confort intellectuel, physiologique et évite les dures réalités (la mort les viols, la destruction du monde, la pauvreté…) En bref, il questionne très bien, à travers son histoire, notre monde. En bref, je vous conseille vivement sa lecture. Sa fin est croustillante, je n’en dis pas plus. Toutefois, seul petit bémol, c’est sa petite taille…. Contrainte matérielle de la Gilberne, chose bien connue, ou volonté de l’auteur ? Je ne sais pas. Je suis peut-être subjectif et je voulais, peut-être, passer encore un petit moment en sa compagnie ;) C’est avec grand plaisir que je lirais les prochaines publications de l’auteur espérant vivement qu’il ne s’arrête pas à cet ouvrage !
ESTEBAN BUFFARD
Note :
Le : 16/04/2025
Je viens de le finir. Difficile de m'immerger au début mais dès le quatrième chapitre je n'ai pu Je viens de le finir. Difficile de m'immerger au début mais dès le quatrième chapitre je n'ai pu décrocher. On prend plaisir à suivre l'histoire et la protagonistes. Je ne suis pas aficionados des descriptions à outrance parcontre mais je suis encore qu'un lecteur néophyte. La fin ne m'a pas surpris. L'auteur a laissé une trace au début du livre qui permet de deviner approximativement la fin. En fermant le livre je me dis que j'aurais aimé en apprendre beaucoup plus sur l'univers. Merci
Henry-Charles BESSONNARD
Note :
Le : 14/04/2025
Je suis pas fan des histoires de lesbiennes, mais celle ci vaut vraiment le coup.